Commençons déjà par l'antithèse de ces "flagship" (smartphone haut de gamme aux prix délirants) pour aller à l'autre bout de la chaîne : les premiers smartphones utilisant le système d'exploitation Android sous l'interface simplifiée Oreo Go, pour petites configurations matérielles. Une version qui permet d'obtenir des smartphones sous les 100 euros, essentiellement réservés pour les marchés émergents comme l'Inde.
Parlons ensuite du cas de Nokia (qui n'est plus vraiment Nokia, d'ailleurs), qui, après le revival de 3310 que je trouves sympa mais un peu cher), ils nous refont le coup avec le 8110, le "téléphone banane" des films "Matrix" :
Puis vient le tour du smartphone le plus sécurisé au monde, tournant sous Android (oui, ce même OS que les Applefans qualifie de passoire sécuritaire), l'Atos Hoox K31 :
Pour éviter les risques liés aux applications, Atos propose un app store privé qui met à disposition des applications d'entreprise et des applications grand public préalablement contrôlées par la SSII. Le smartphone est également associé à la solution Hoox for business.
Cette dernière assure une sécurisation de bout-en- bout de la solution (terminal, ports USB, Wi-Fi, Bluetooth, communications, données, applications), et apporte une "protection globale contre les interceptions et intrusions, y compris en cas de perte ou de vol du matériel".
Pour le reste, est doté d'un écran AMOLED de 5,5 pouces, d'une batterie longue durée (plus de 48h en utilisation professionnelle) et ne pèse que 149 grammes, c'est bien moins que les deux modèles précédents de la gamme.
Il y a aussi le Vivo Apex Concept, un concept (comme son nom l'indique) de smartphone abusant à fond de l'argument marketing du moment, le fameux "borderless". Et quand je dis à fond, c'est vraiment à fond, car l'écran occupe 98% de la surface dont une grande partie ferait office de lecteur d'empreintes digitales.
Mais le plus surprenant reste le ZTE Axon M, un smartphone pliable à double écran.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire